Vol. 62 N° 2 - Apr/May/Jun - 1994

ORIGINAL ARTICLE

1- Relapses after a single dose of rifampin in skin-smear negative multibacillary patients after dapsone monotherapy

Pierre Jamet; Leopold Blanc; Ousmane C. Fayne; Issa Traore ; Pierre Bobin


Between 1982 and 1985, a single 1500 mg dose of rifampin (RMP) was given to 136 multibacillary leprosy patients who had become clinically inactive and skin-smear negative after various durations of dapsone monotherapy, and then antileprosy chemotherapy was totally stopped. By the end of June 1992, 15 relapses were detected among these patients. The overall relapse rate was 11%; the relapse rate per 100 patient-years was 2.1%, which was the highest among those published to date; the cumulative risk of relapse at year 7 of follow up was 8.8%. All of these figures indicate that the relapse rate among this group was at least the same as in other studies where patients received dapsone monotherapy only. Therefore, the administration of a single large dose of RMP could neither prevent relapse nor reduce its rate among multibacillary patients who had already become clinically and skin-smear negative after dapsone monotherapy.
Entre 1982 et 1985, une dose unique de 1500 mg de rifampicine (RMP) fut administrée à 136 patients lépreux multibacillaires qui étaient devenus cliniquement inactifs et avaient des frottis cutanés négatifs après diverses durées de monothérapie à la dapsone. La chimiothérapie anti-lèpre fut ensuite totalement arrêtée. A la fin juin 1992, 15 rechutes avaient été détectées parmi ces patients. Le taux global de rechute était de 11.0%; le taux de rechute par 100 patients-années était de 2.1%, ce qui est le plus élevé publié à ce jour; le taux cumulé de rechute après 7 ans de suivi était de 8.8%. Tous ces chiffres indiquent que le taux de rechute dans ce groupe était au moins équivalent à celui d'autres études où les patients n'avaient reçu qu'une monothérapie à la dapsone. En conséquence, l'administration d'une dose unique élevée de rifampicine n'a pas été capable de prévenir la rechute ni de diminuer son taux chez des patients multibacillaires qui étaient déjà devenus négatifs cliniquement ainsi qu'aux frottis cutanés après une monothérapie à la dapsone.
Entre 1982 y 1985, se administra una sola dosis de 1500 mgde rifampina (RMP) a 136 pacientes con lepra multibacilar que habían llegado a ser clínicamente inactivos y baciloscopicamente negativos como resultado de su tratamiento prolongado con dapsona. Después, el tratamiento antileproso se suspendió totalmente. A finales de 1992 se detectaron 15 pacientes con recaída. La frecuencia global de recaída fue del 11.0%, la tasa de recaída por 100 pacientes/años fue del 2.1% la cual es la más alta publicada hasta ahora; el riesgo acumulativo de recaída a los 7 años de seguimiento fue del 8.8%. Todas estas cifras indican que la frequencia de recaída en este grupo fue al menos igual que la encontrada en otros estudios similares donde los pacientes recibieron solo la monoterapia con dapsona. La administración de una sola dosis de RMP no pudo ni evitar las recaídas ni reducir su frecuencia en una población de pacientes multibacilares que ya habían llegado a ser clínica- y baciloscopicamente negativos después de la monoterapia con dapsona.

2- Rate of relapse in multibacillary patients after cessation of long-course dapsone monotherapy supplemented by a final supervised single dose of 1500 mg of rifampin

Jean-Louis Cartel; Jean-Claude Naudin


When multidrug therapy was implemented in Senegal, 406 multibacillary (MB) patients who had been treated for more than 10 years by dapsone alone, and who had become clinically inactive and skin-smear negative, were released f rom treatment. Of these 406 patients, 298 were given a super vised single dose of 1500 mg of rifampin. Subsequently, 302 of them (229 who had been given rifampin and 73 who had not) were followed up by means of annual clinical and bacteriological examinations. Of the former 229 followed up for a mean period of 4.9 years, 34 patients relapsed (22 males and 12 females), giving a crude relapse rate of 15% and an overall risk of relapse of 3.1 per 100 patient-years. Of the latter 73 followed up for a mean period of 2.4 years, 5 relapsed (4 males and 1 female), giving a crude relapse rate of 6.8% and an overall risk of relapse of 2.9 per 100 patient-years. Such results, which are in agreement with those of a similar study conducted recently in Mali, indicate that the intake of a single dose of 1500 mg of rifampin by MB patients when they are released f rom long-course dapsone monotherapy does not result in a decrease of the relapse rate. Therefore, MB patients who have been treated with dapsone alone, even for long periods, should be put under multidrug therapy prior to their release f rom control.
Lorsque la polychimiothérapie a été appliquée au Sénégal, 406 patients multibacillaires (MB), qui avaient été traités pendant plus de dix ans par la dapsone seule, étaient devenus clinquement inactifs et avaient des frottis cutanés négatifs, ont été libérés du traitement. Parmi ces 408 patients, 298 ont reçu une dose unique supervisée de 1 500 mg de rifampicin. Par la suite, 302 d'entre eux (229 qui avaient reçu de la rifampicine et 73 qui n'en avaient pas reçu) ont été suivis par des examens clinques et bactériologiques annuels. Parmi les 229 premiers, suivis pour une période moyenne de 4.9 ans, 34 patients ont rechuté (22 hommes et 12 femmes), ce qui donne un taux brut de rechute de 15% et un risque global de rechute de 3.1 pour 100 patientsannées. Parmi les 73 autres, suivis pour une période moyenne de 2.4 ans, 5 ont rechuté, donnant un taux brut de rechute de 6.8% et un risque global de rechute de 2.9 pour 100 patients-années. De tels résultats, qui sont en accord avec ceux d'une étude semblable réalisée récemment au Mali, indiquent que la prise d'une dose unique de 1500 mg de rifampicine par des patients MB lors de l'arrêt d'une monotháerapie de longue durée à la dapsone ne résulte pas en une diminution du taux de rechute. En conséquence, les patients MB traités par dapsone seule, même pour de longues périodes, devraient être mis sous polychimiothérapie avant d'être libérés des contrôles.
Cuando se implantó la poliquimioterapia (PQT) en Senegal, 406 pacientes multibacilares(MB) que habían sido tratados por más de 10 años sólo con dapsona y que habían llegado a ser clínicamente inactivos y baciloscópicamente negativos, fueron liberados del tratamiento. De estos 406 pacientes, 298 recibieron una dosis única de 1500 mg de rifampina (RMP). Subsecuentemente, 302 de los 406 pacientes (229 que habían sido tratados con RMP y 73 que no habían sido tratados con la droga) fueron vigilados y valorados anualmente por examenes clínicos y bacteriológicos. De los primeros 229 pacientes, sequidos durante un periodo promedio de 4.9 años, 34 mostraron recaídas (22 hombres y 12 mujeres), significando ésto una frecuencia de recaída del 15%, y un riesgo global de 3.1 por 100 pacientes/años. De los últimos 73 pacientes, seguidos druante un periodo promedio de 2.4 años, cinco tuvieron recaídas (4 hombres y una mujer), dando una frecuencia de recaída de 6.8%, y un riesgo global de recaída de 2.9 por 100 pacientes/años. Estos resultados, que están de acuerdo con los resultados de un estudio similar realizado en Mali, indican que la administración de una sola dosis de 1500 mg de RMP a los pacientes MB liberados de la monoterapia prolongada con dapsona no disminuye la frecuencia de recaída. Los pacientes MB que han sido tratados sólo con dapsona durante periodos prolongados de tiempo, deben someterse al tratamiento con poliquimioterapia antes de ser liberados del programa de control de la enfermedad.

3- Paralysis of facial muscles in leprosy patients with lagophthalmos

Wiebe Jan Lubbers; Alberte Schipper; Margreet Hogeweg; Richard de Soldenhoff


The objective of the study was to determine the pattern of involvement of facial muscles in lagophthalmos. Fifty-seven patients with lagophthalmos were examined to assess the degree of paralysis of facial muscles. Eighty-one percent of the patients with lagophthalmos had involvement of at least one other muscle group. In patients with lagophthalmos with a gap at mild closure of 5 mm or more, 27 of 30 (90%) had involvement of at least one other facial muscle. In lepromatous leprosy the pattern of involvement was symmetrical and "patchy," the right and left sides being affected equally. In tuberculoid leprosy, the ipsilateral muscles were more often involved, which is the pattern of involvement of a nerve trunk. The upper and lower facial muscles were affected in the same proportion. Hence, on clinical grounds, there is little support for the often postulated statement that the superficial course of the facial nerve above the zygomatic bone is decisive for exclusive paralysis of the zygomatic branch of the facial nerve.
L'objectif de cette étude était de déterminer le mode d'implication des muscles faciaux dans le lagophtalmos. Cinquante-sept patients avec un lagophtalmos ont été examinés pour estimer le degré de paralysie des muscles faciaux. Quatre-vingt-un pourcents des patients avec lagophtalmos avaient au moins un autre groupe musculaire impliqué. Chez les patients qui avaient un lagophtalmos avec une fente de 5 mm ou plus à la fermeture légère des yeux, 27 sur 30 (90%) avaient au moins un autre muscle facial impliqué. Dans la lèpre lépromateuse, le mode d'implication était symétrique et "en taches," les côtés gauche et droit étant également affectés. Dans la lèpre tubereuloide, les muscles ipsilatéraux étaient plus souvent impliqués, ce qui est le mode d'implication d'un tronc nerveux. Les muscles faciaux supéricurset inférieurs étaient affectés dans la même proportion. Donc, sur base clinique, il y a peu d'arguments en faveur de l'affirmation souvent admise que le parcours superficiel du nerf facial au-dessus de l'os zygomatique est décisif pour la paralysis exclusive de la branche zygomatique du nerf facial.
El objetivo de este estudio fue el determinarei patrón de la afección de los músculos faciales en el lagoftalmos. Se examinaron 57 pacientes con lagoftalmos para establecer el grado de parálisis de los músculos faciales. Ochenta y uno por ciento de los pacientes con lagoftalmos tuvieron afección de al menos un nervio de cada grupo. El 90% (27 de 30) de los pacientes con lagoftalmos con un espacio (un gap) al cierre moderado de 5 mm o más, tuvieron afección de cuando menos uno de los músculos faciales. En la lepra lepromatosa el patrón de afección fue simétrico y "en parches," afectándose de igual manera tanto el lado derecho como el izquierdo. En la lepra tubereuloide los músculos ipsilaterales fueron los más frecuentemente afectados; ésto corresponde al patrón de afección de un tronco nervioso. Los músculos faciales superior e inferiorestuvieron afectados en el mismo grado. Según estas observaciones, clínicamente hay poco apoyo a la consideración, frecuentemente mencionada, de que el curso superficial del nervio facial sobre el hueso zigomático es decisivo para la parálisis exclusiva de la rama zigomática del nervio facial.

4- Autosensitization to connective tissue elements and endogenous adaptation hormones in mycobacterioses

Eugene S. Balybin; Lazar A. Vinnick


The contribution of some adaptation hormones to the process regulating production of autoantibodies to collagen (Abe) and elastin (Abe) was studied in leprosy (37 patients) and tuberculosis (31 patients). In both mycobacterioses the Abe and Abe titers were increased and inversely correlated with endogenous Cortisol levels. In leprosy the antibody titers directly correlated with the triiodothyronine (T3) levels which were significantly higher than the values in healthy controls. A new approach to research for remedies and methods of preventing and curing autosensitization to connective tissue is suggested by combining medications according to individual endocrine and immune indices.
La contribution de certaines hormones d'adaptation au processus réglant la production d'auto-anticorps visà-vis du collagène (Aac) et de l'clastine (Ace) a été étudiée dans la lèpre (37 patients) et la tuberculose (31 patients). Dans les deux maladies, les titres Aac et Ace étaient augmentés et inversement correlés aux taux de Cortisol endogène. Dans la lèpre, les titres d'anticorps étaient directement correlés avec les taux de triiodothyronine (T3), qui étaient significativement plus élevés que les valeurs observées chez les témoins en bonne santé. Une nouvelle approche à la recherche pour des remèdes et des méthodes de prévention et de traitement de l'autosensibilisation vis-à-vis du tissu conjonctif est suggérée en combinant des médicaments en fonction d'indices individuels endocrines et immunitaires.
Se estudió la contribución de algunas hormonas de adaptación al proceso de regulación de la producción de autoanticuerpos contra colágena (Abe) y clastina (Abe) en 37 pacientes con lepra y en 31 pacientes con tuberculosis. En ambas micobacteriosis, los títulos de Abe y de Abe estuvieron incrementados y correlacionaron de manera inversa con los niveles de cortisol endógeno. En la lepra, los títulos de anticuerpos correlacionaron en forma directa con los niveles de triyodotironina (T3), los cuales fueron significativamente más altos que los encontrados en los controles sanos. Se propone un nuevo enfoque para la investigación de remedios y métodos para la prevención y curación de la autosensibilización contra el tejido conectivo. Este enfoque considera la posible administración de medicamentos de acuerdo a los índices endocrino e inmunológico de cada individuo.

5- Molecular definition of unique species status of Mycobacterium w; a candidate leprosy vaccine strain

P. Prabhakara Reddi; Amol G. Amin; P. S. Khandekar; G. P. Taiwan


Mycobacterium w, a candidate leprosy vaccine strain, is an atypical cultivable mycobacterium. Based on its growth and metabolic properties, M. w was listed in Runyon Group IV, along with other rapid growers such as M. fortuitum, M. smegmatis, M. chelonae and M. vaccae. However, M. w was not fully identical to any one of these. In the present study, a molecular biology approach was used to define the species identity of M. w in a manner that allows reliable comparison to be made with over 30 known mycobacterial species. A 383-bp region, present at the amino terminus of the conserved mycobacterial 65-kDa gene, has been polymerase chain reaction (PCR) amplified in M. w and the DNA sequence was determined. A comparison of the M. w DNA sequence with those of M. tuberculosis, M. avium, M. paratuberculosis and M. fortuitum revealed a species-specific polymorphism, i.e., the presence of nucleotide substitutions unique to M. w. In an alternate approach, a 441-bp region, also a part of the 65-kDa gene, has been PCR amplified in M. w and a Hae III restriction pattern was generated. The 142/127/59-bp Hae III pattern of M. w was found to be unique when compared with M. tuberculosis H37Rv, M. bovis, M. avium, M. intracellulare, M. scrofulaceum, M. kansasii, M. gastri, M. gordonae, M. shimoidei, M. malmoense, M. haemophilum, M. terrae, M. nonchromogenicum, M. triviale, M. marinum, M. flavescens, M. simiae, M. szulgai, M. xenopi, M. asiaticum, M. aurum, M. smegmatis, M. vaccae, M. fortuitum subsp. fortuitum, M. fortuitum subsp. peregrinum, M. chelonae subsp. chelonae, M. chelonae subsp. abscessus and M. genavense; mycobacteria for which the 441-bp Hae III patterns have been documented in the literature. These results established the species identity of M. w at the nucleotide level.
Le Mycobacterium w , une souche candidate pour unvaccin contre la lepre, est une mycobactêrie atypiquecultivable. Sur la base de sa croissance et de ses propriêt Cs mêtaboliques, M. it a etc class& dans le GroupeIV de Runyon, en compagnic d'autres mycobacteriescroissance rapide telles que M. fortuitum, M. smegmails, M. chelonae et M. vaccae . Cependant, M. w n'etait Crement identique a aucun de ceux-ci. Dans l'etude presente, on a utilis une approche de biologie moleculaire pour definir l'identité d'espèce de M. w d'une maniere qui permet de faire une comparaisonfiable avec plus de 30 espèces mycobacteriennesconnues. Une région de 383-bp, presente a l'extremiteamine du gene mycobacterien conserve de 65 kDa, a été amplifiee chez M. w par une reaction de polymeraseen chaine (PCR) et la sequence de l'ADN a etc determince. La comparison de la sequence de l'ADN de M. w avec celle de M. tuberculosis, M. avium, M. paratuberculosis et M.fortuitum a revele un polymorphismespecifique d'espèce, c'est-à-dire la presence de substitutions nucléotidiques uniques a M. w. Dans une approche alternative, une region de 441-bp, faisant ega-lenient partie du gene de 65 kDa, a etc amplifiée par PCR chez M. w et un type de restriction Hae III a été engendre. Le type Hae 111 142/127/59-bp a eté trouvecomme etant unique, par comparaison au H37Rv de M. tuberculosis, M. bovis, M. avium, M. intracellulare,M. scrofulaceum, M. kansaii, M. gastri, M. gordonae, M. shimoidei, M. malmocnse, M. haemophilum, M.terrae, M. nonchromogenicum, M. triviale, M. marl-num, M. Jiavescens, M. simiae, M. sulgai, M. xenopi,M. asiaticum, M. aurun:, M. smegmatis, M. vaccae, M. fortuitum subsp.fin-tuiturn, M. fortuitum subsp. peregrinum, M. chelonae subsp. chelonae, M. chelonae subsp. abscesses et M. genavense , mycobacteries pourlesquelles le type Hae Ill 441-bp a été documenté dansla litterature. Ces résultats etablissent l'identite d'espèce de M. w au niveau du nucléotide.
Mycobacterium w es una micobacteria atípica cultivable que se ha considerado como candidato para preparar una vacuna contra la lepra. Con base en su crecimiento y propiedades metabólicas, M. w se clasificó en el grupo Runyon IV, junto con otras micobacterias de crecimiento rápido tales como M. fortuitum, M. smegmatis, M. chelonae, y M. vaccae. Sin embargo, M. w no fue completamente idéntica a ninguna de ellas. En el presente estudio se aplicaron las técnicas de la biología molecular para definir la identidad de especie de M. w por comparación con más de 30 especies micobacterianas conocidas. Para ésto, se amplificó por la reacción en cadena de la polimerasa (PCR) una región de 383 pb del gene que codifica la proteína altamente conservada de 65 kDa (extremo amino terminal) de las micobacterias. La secuenciación del DNA amplificado, y la comparación de esta secuencia con aquellas correspondientes a M. tuberculosis, M. avium, M. paratuberculosis, y M. fortuitum, revelaron un polimorfismo específico de especie, esto es, la presencia de substituciones de nucleótidos únicos de M. w. En un enfoque alternativo, una región de 441 pb, también una parte del gene de 65 kDa, fue amplificada por PCR en M. w para establecer su patrón de restricción con Hac III. El patrón Hae III de 142/127/ 59-pb de M. w resultó único cuando se comparó con el patrón de restricción correspondiente a M. tuberculosis H37Rv, M. bovis, M. avium, M. intracellularc, M. scrofulaceum, AI. kansasii, M. gastri. M. gordonae, M. shimoidei, M. malmoense, M. haemophilum. M. terrae. M. nonchromogenicum, M. triviale, M. marinum, M. flavescens, M. simiae, M. szulgai, M. xenopi, M. asiaticum, M. aurum, M. smegmatis, M. vaccae, M. fortuitum subsp. fortuitum. M. fortuitum supsp. peregrinum, M. chelonae subsp. chelonae. M. chelonae subsp. abscessus, and M. genavense, micobacterias para las cuales los patrones de resetricción 441 pb Hae III han sido documentados en la literatura. Estos resultados establecen la identidad de especie de M. w a nivel de nulceótidos.

6- Detection and characterization of a λgt 11 recombinant clone of M. leprae that expresses an antigenic determinant of a 64-kDa protein

Sandra K. Davidson; Gregory T. George


A genomic library of Mycobacterium leprae in the expression vector λgt 11 was screened with rabbit polyclonal hyperimmune antiserum elicited with a sonicated extract of M. leprae. Numerous reactive clones were isolated by this immunoscrcening, indicating a broad antibody response of the rabbit. None of the recombinant clones was reactive with monoclonal antibodies to the previously well-characterized M. leprae recombinant clones. One of the clones isolated, clone A, encoded a large, 132-143-kDa β-galactosidase fusion protein expressing an epitope of M. leprae. Monospecific antibodies eluted f rom this fusion protein reacted on Western blots with a 64-kDa M. leprae protein. The DNA of this clone was shown to be distinet f rom the gene encoding the well-characterized immunodominant 65-kDa protein by DNA hybridization. We have identified a new λgt 1 1 recombinant clone encoding a fusion protein with a 64-kDa protein. This protein is recognized by the humoral immune response of the rabbit in response to a challenge with an M. leprae cell extract.
Une librairie génomique de Mycobacterium leprae dans le vecteur d'expression λgt 1 1 a été testée avec de l'antisérum polyclonal hyperimmun de lapin sensibilisé avec un extrait soniqué de M. leprae. De nombreux clones réactifs ont été isolés par ce dépistage immunologique, indiquant une réponse étendue du lapin sous forme d'anticorps. Aucun des clones recombinants ne réagissait avec les anticorps monclonaux dirigés vers les clones recombinants de M. leprae bien caractérisés antérieurement. Un des clones isolés, le clone A, encodait une grande protéine de fusion β-galactosidase de 132-143 kDa exprimant un epitope de M. leprae. Des anticorps monospécifiques produits à partir de cette protéine de fusion réagissaient par Western blot avec une protéine de 64 kDa de M. leprae. On a montré que l'ADN de ce clone était distinct du gène encodant la protéine immunodominante de 65 kDa bien caractérisée par hybridation de l'ADN. Nous avons identifié un nouveau clone recombinant λgt 1 1 encodant une protéine de fusion avec une protéine de 64 kDa. Cette protéine est reconnue par la réponse immunitaire humorale du lapin en réponse au contact avec un extrait cellulaire de M. leprae.
Se analizó una genoteca de Mycobacterium leprae en el vector de expresión lambda-gt1 1, usando un antisucro hiperinmune policlonal, preparado en conejo contra un extracto sonicado de M. leprae. Se aislaron numerosas clonas reactivas que indicaron una amplia respuesta del conejo. Sin embargo, ninguna de las clonas recombinantes reaccionó con los anticuerpos monoclonales contra las clonas recombinantes de M. leprae previamente bien caracterizadas. Una de las clonas aisladas, la clona A, codificó para una proteína de fusión con beta-galactosidasa de 132-143 kDa que expresó un epitopo de M. leprae Los anticuerpos monocspecíficos cluídos de la proteína de fusión reaccionaron en Western blots con una proteína de 64 kDa de M. leprae. Por análisis de hibridización, el DNA de esta clona fue distinto del gene codificante de la ya bien caracterizada proteina inmunodominante de 65 kDa. Identificamos una nueva clona recombinante lambda-gt 1 1 codifeante de una proteína de fusión con una proteína de 64 kDa. Esta proteína es reconocida por la respuesta inmune humoral del conejo en respuesta a su inmunización con un extracto celular de M. leprae.

7- Antibody response to recombinant 65-kDa, 70-kDa and 18-kDa mycobacterial antigens in leprosy patients and healthy contacts in a leprosy-endemic population

Subburaj llangumaran; Nallakandypanangadan Shankernarayan; Gopal Ramu; Veerappan Muthukkaruppan


Antibody responses to recombinant Mycobacterium leprae 65-kDa (rML65) and 18kDa (rMLl8), M. bovis BCG 65-kDa (rMB65) and M. tuberculosis 70-kDa (rMT70) antigens were measured by indirect ELISA in sera f rom leprosy patients and healthy contacts in a leprosy-endemic area in southern India. Antibody responses to M. leprae -specific epitopes on phenolic glycolipid-I (PGL-I) and a 35-kDa protein antigens also were measured simultaneously by PGL-I ELISA and the serum antibody competition test (SACT), respectively. Significantly higher levels of antibodies of the IgG isotype to rML65 and rMB65 were observed in bacterial index (Bl)-positive, lepromatous (LBI+) patients but not in other groups of leprosy patients and endemic controls [healthy family contacts (HFC), healthy hospital contacts (HHC), and healthy noncontacts (HNC)]. LBI+ patients could be distinguished f rom LBI- patients on the basis of their higher levels of IgG antibodies to rML 65, rMB65 and rMT70; lower levels of IgM antibodies to these antigens and higher levels of anti-PGL-I IgM levels. In the former group, 84% were SACT positive in contrast to 39% in the latter groups. Among lepromatous patients good positive correlations were observed between IgG antibody responses to rML65 and rMB65 and anti-PGL-I IgM levels, SACT ID50 titers as well as Bis. Among healthy controls, HFC had higher levels of IgG antibodies to rML65, but lower levels to rMB65 than did HNC. Thirty-nine percent of the HFC were seropositive to anti-PGL-I IgM antibodies in contrast to 4% in the HNC. On the basis of these criteria, the immune profile of the HFC appears to be distinctly different f rom that of the HNC, even though both groups are f rom the same endemic area. It is therefore possible that antibody response to defined protein antigens of mycobacteria is influenced by the lesional bacterial load in leprosy patients and by exposure to homologous proteins of M. leprae and/or related environmental mycobacteria in the case of healthy contacts and noncontacts. The above results are discussed in relation to T- and B-cell activity toward M. leprae antigens and the immunoregulatory mechanisms of antibody production in leprosy.
Les réponses en anticorps vis-à-vis des gènes recombinants de 65 kDa (rML65) et 18 kDa (rML18) de Mycobacterium leprae, de 65 kDa du BCG de M. bovis (rMB65), et de 70 kDa de M. tuberculosis (rMT70) ont été mesurées par un ELISA indirect sur des sérums de malades de la lèpre et de contacts en bonne santé dans une région où la lèpre est endémique dans le Sud de l'Inde. Les réponses en anticorps au glycolipide phénolique I (PGL-I) spécifique à M. leprae et à des antigènes d'une protéine de 65kDa ont été également mesurées simultanément respectivement par ELISA et le test de compétition des anticorps sériques (SACT). Des taux significativement plus élevés d'anticorps de l'isotype IgG vis-à-vis du rML65 et du rMB65 ont été observés chez des patients lépromateux avec un indice bactérien positif (LBI + ), mais pas dans d'autres groupes de patients lépreux et de témoins de zones endémiques [contacts familiaux en bonne santé (CFS), des contacts d'hôpital en bonne santé (CHS) et des non-contacts en bonne santé (NCS)]. Les patients LBI+ pouvaient être distingués des patients LB- sur base de leurs taux plus élevés d'anticorps IgG vis-à-vis du rML65, rMB65 et rMT70, des taux plus faibles d'anticorps IgM vis-à-vis de ces antigènes, et des taux plus élevés d'IgM anti-PGL-I. Dans le premier groupe, 84% étaient positifs au SACT, par contraste avec 39% dans les autres groupes. Parmi les patients lépromateux, on a observé de bonnes correlations positives entre les réponses d'anticorps IgG vis-à-vis du rML65 et rMB65 et les taux d'IgM anti-PGL-I, les titres ID50 du SACT ainsi que l'indice bactérien. Parmi les témoins en bonne santé, les CFS avaient des taux d'anticorps IgG plus élevés vis-à-vis du rML65, mais plus bas vis-à-vis du rMB65 que n'avaient les NCS. Trente-neuf pourcents des CFS étaient séropositifs pour les anticorps anti-PGL-I, par contraste à 4% chez les NCS. Sur base de ces critères, le profil immunitaire des CFS apparaît distinct de celui des NCS, même si les deux groupes proviennent de la même zone endémique. Il est done possible que la réponse en anticorps à des antigènes protéiques bien définis de mycobactéries soit influencée par la charge bactérienne des lésions ches les malades de la lèpre et par l'exposition à des protéines homologues de M. leprae et/ou de mycobactéries apparentées de l'environnement dans le cas de contacts et non-contacts en bonne santé. Les résultats ci-dessus sont discutes en relation avec l'activité des cellules T et B vis-à-vis des antigènes de M. leprae et des mécanismes de régulation immunitaire de la production d'anticorps dans la lèpre.
Ultilizando un ELISA indirecto se midió la reactividad de los sueros de pacientes con lepra y de un grupo de controles sanos de un área endémica de lepra, al sur de la India. Como antígenos se usaron las proteínas recombinantes de 65 kDa de Mycobacterium leprae (rML65), de 65 kDa de M. bovis, BCG (rMB65), de 70 kDa de M. tuberculosis (rMT70). También se midieron las respuestas en anticuerpos contra el glicolípido fenólico-I (PGL-I) y contra una proteína de 35 kDa de M. leprae. Para ésto, se utilizaron un ELISA-PGL-I y una prueba de competencia de anticuerpo (SACT), respectivamente. En los pacientes lepromatosos con índices bacteriológicos positivos (LBI + ), se encontraron niveles muy elevados de anticuerpos IgG contra rML65 y contra rMB65. Esto no se observó en otros grupos de pacientes con lepra ni en los controles de la zona endémica: contactos familiares sanos (HFC), contactos sanos de hospital (HHC), y controles sanos no contactos (HNC). Los pacientes LBI+ pudieron distinguirse de los pacientes LBI- en base a sus niveles más altos de anticuerpos IgG contra rML65, rMB65, y rMT70, a sus mas bajos niveles de anticuerpos IgM contra estos antígenos, y a sus mayores niveles de anticuerpos IgM contra el PGL-I. El ochenta y cuatro porciento de los pacientes LBI+ fueron SACT positivos en contraste con el 39% de los pacientes LBI-. En los pacientes lepromatosos se observaron buenas correlaciones positivas en cuanto a sus respuestas en anticuerpos IgG contra rML65 y rMB65, en sus niveles de anticuerpos IgM contra el PGL-I, en sus títulos SACT ID50 y en sus Bis. Entre los controles sanos, los HFC tuvieron niveles más altos de anticuerpos IgG contra rML65 y niveles más bajos contra rMB65, que los HNC. Treinta y nueve porciento de los HTC, contra el 4% de los HNC, tuvieron anticuerpos IgM anti-PGL-I. Con base en estos hallazgos, el perfil inmune de los HFC resulta claramente diferente del perfil de los HNC, aún cuando ambos grupos sean de la misma zona endémica. Por lo tanto, es posible que la respuesta en anticuerpos contra antigenos proteicos definidos de las micobacterias esté inlluencíada por la carga bacteriana lesional de los pacientes con lepra y por la exposición a proteínas homologas de M. leprae y/o de otras micobacterias ambientales en el caso de los contactos y los no contactos sanos. Los resultados anteriores se discuten en relación a la actividad las células T y las células B contra los antígenos de M. leprae. y de los mecanismos de regulación de la producción de anticuerpos en la lepra.

8- Mass survey of leprosy in Lalitpur District, Nepal

W. J. Theuvenet; D. Soares; J. P. Baral; A. R. Theuvenet-Schutte; J. P. Palla; K. Jesudasan; J. Nakami; R. B. Bista; P. Jayakumar; P. K. Failbus


An intense mass survey of leprosy in Lalitpur District, Nepal, was carried for the period 1986 to 1990. This was the first such large scale survey in Nepal; 85% of the total population was examined. The 5-year case detection rate was 13 per 10,000; the 5-year child detection rate was 4 per 10,000. By the end of the survey the prevalence rate was 6.8 per 10,000; at the end of 1992 this had dropped to 2.2 per 10,000. In 1989, after a 3-year interval, a re-survey was done in three village development committees (VDCs) and 4 new cases were detected, bringing the 3-year case detection rate to 3.3 per 10,000; 36% of the old cases, 20% of the new adult cases, and 3% of the new child cases were classified as multibacillary. Overall, 62.7% of the patients had no disability, 18.8% had disability grade 1, and 12.7% had disability grade 2 while for 5.8% the data were incomplete. By the end of the survey 91% of the patients needing medical treatment were on multidrug therapy (MDT). At present this has increased to 100%. The regularity rate was 86%; at the end of 1992 this had increased to 96%. The cost for detecting one new patient was US$298. Because of the high cost, it is recommended that intense mass surveys not be performed when the estimated prevalence rate is less than 10 per 10,000 inhabitants. F rom the data collected conclusions were drawn and recommendations were formulated for developing new strategies for the National Leprosy Control Programme of the Government of Nepal.
Une enquête intensive de masse pour la lèpre a été réalisée dans le District de Lalitpur, au Népal, pour la période de 1986 à 1990. C'était la première enquête à une telle échelle au Népal; 85% de la population totale fut examinée. Le taux de détection pour les cinq années était de 13 pour 10,000; ce même taux était de 4 pour 10,000 chez les enfants. A la fin de l'enquête, le taux de prévalence était de 6.8 pour 10,000; fin 1992, celuici était descendu à 2.2 pour 10,000. En 1989, après un intervalle de trois ans, une nouvelle enquête fut réalisée dans trois "comités de développement villageois" (CDV), et 4 noveaux cas furent détectés, donnant un taux de détection sur trois ans de 3.3 pour 10,000; 36% des cas anciens, 20% des nouveaux cas adultes, et 3% des nouveaux cas enfants étaient classés comme multibacillaires. Globalment, 62.7% des patients n'avaient pas d'incapacités, 18.8% avaient une incapacité de grade 1, et 12.7% une incapacité de grade 2; les données étaient incomplètes pour 5.8% des cas. A la fin de l'enquête, 91% des cas nécessitant un traitement médical étaient sous polychimiothérapie (PCT). Ceci a présentement augmenté à 100%. Le taux de régularité était de 86%; à la fin de 1992, il avait augmenté à 96%. Le coût pour détecter un patient était de 298 US$. A cause du coût élevé, il est recommandé que les enquêtes intensives de massse ne soient pas réalisées quand la prévalence estimée est inférieure à 10 par 10,000 habitants. A partir des données récoltées, on a tiré des conclusions et on a formulé des recommandations pour développer de nouvelles stratégies pour le Programme National de Lutte contre la Lèpre du Gouvernement du Népal.
De 1986 a 1990 se llevó a cabo un extenso estudio masivo para la búsqueda de casos de lepra en el Distritio Lalitpur de Nepal. Se logró examinar al 85% de la población total. La tasa de detección de casos en ese periodo de 5 años fue de 13 por 10,000, la tasa de detección de casos infantiles fue de 4 por 10,000. Al final del estudio la tasa de prevalência fue de 6.8 por 10,000 y a finales de 1992, ésta había caído a 2.2 por 10,000. En 1991, después de un intervalo de 3 años, se recstudiaron 3 aldeas, detectándose 4 nuevos casos, llevando la tasa de detección a 3.3 por 10,000. Treinta y seis porciento de los casos antiguos, 20% de los nuevos casos adultos, y 3% de los nuevos casos infantiles, se clasificaron como multibacilares. El 62.7% de los pacientes no tuvieron multilaciones, el 18.8% tuvieron invalides de grado I, y 12.7% tuvieron invalides de grado 2; para el 5.8% de los pacientes estos datos fueron incompletos. Hacia el final del estudio, el 91% de los pacientes que necesitaban tratamiento, estaban bajo tratamiento con poliquimioterapia (PQT). Actualmente el tratamiento con PQT cubre al 100 de los casos. La frecuencia de regularidad, que al finalizar el estudio era del 86%, a finales de 1992 fue del 96%. El costo de detección de un nuevo paciente fue de US$298. Debido a este elevado costo se recomienda que los estudios masivos de detección de casos sólo se efectúen cuando la tasa de prevalenca estimada sea mayor de 10 por 10,000 habitantes. De los datos colectados se han sacado conclusiones y se han formulado recomendaciones para el desarrollo de nuevas estrategias para el Programa Nacional de Control de la Lepra del gobierno de Nepal.

9- An evaluation of the S-100 stain in the histological diagnosis of tuberculoid leprosy and other granulomatous dermatoses

Navjeevan Singh; V. K. Arora; M. Ramam; S. K. Tickoo; A. Bhatia


Forty biopsies of granulomatous dermatoses, 12 of which were tuberculoid leprosy (TL), were studied for patterns of nerve twig distribution using an immunoperoxidase technique for S-100 protein. Four distinct patterns of nerve twigs were identified: 1) within granulomas, 2) between granulomas, 3) within and between granulomas, and 4) undetectable nerve twigs in an adequate biopsy. Pattern 4 was seen exclusively in TL (p < 0.05). The other patterns occurred in nonleprosy dermatoses as well, suggesting that pattern 4 is the best indicator toward a diagnosis of TL. The granules of mycetoma and Mycobacterium leprae also stained positively with the S-100 stain.
Quarante biopsies de dermatoses granulomateuses, parmi lesquelles 12 de lèpre tuberculoide (LT), ont été étudiées quant à leurs modes de distribution en filets des nerfs par une technique d'immunoperoxydase pour la protéine S-100. Quatre types distincts de filets nerveux ont été identifiés: 1) dans les granulomes, 2) entre les granulomes, 3) dans et entre les granulomes, et 4) des filets nerveux indétectables dans une biopsie adéquate. Le type 4 était vu exclusivement dans la lèpre tuberculoide (p < 0.05). Les autres types survenaient également dans les dermatoses non-l'éprcuscs, suggérant que le type 4 est le meilleur indicateur pour un diagnostic de lèpre tuberculoide. Les granules de mycétomes et de Mycobacterium leprae prenaient également la coloration au S-100.
Utilizando un técnica de inniunodelección con peroxidasa para la proteína S-100, se estudiaron 40 biopsias de dermatosis granulomatosas (12 de las cuales fueron de lepra tuberculoide, TL) para establecer el patrón de distribución de las ramificaciones nerviosas. Se identificaron 4 patrones distintos de distribución de las ramificaciones nerviosas: (1) dentro de los granulomas, (2) entre los granulomas, (3) dentro y entre los granulomas, y (4) ausencia de ramificaciones nerviosas aún cuando la biopsia fue adecuada. El patrón 4 se observó exclusivamente en los pacientes TL (p menor de 0.05). Ya que los otros patrones se observaron también en dermatosis no leprosas, se sugiere que el patrón 4 es el mejor indicador para establecer un diagnóstico de TL. Los granulos de micetoma y Mycobacterium leprae también se tiñeron positivamente con la tinción para S-100.

EDITORIALS-CONGRESS-STATE-OF-THE-ART LECTURES

CORRESPONDENCE

13- An atypical site in HLA-DQB1 detected in leprosy patients

Hideki Ohyama; Atsushi Nagai; Shogo Takashiba; Hidemi Kurihara; Kazuko Sugiyama; Shinzo Inoue; Mutsue Mizushima; Akinori Kohzuma; Yoji Murayama


14- Lepromatous leprosy and HIV infection

L. M. Olivares; G. E. A. Pizzariello; J. Benetucci; M. H. Farina; C. Kien; A. Btesh


15- Necrotizing erythema nodosum leprosum triggered by cotrimoxazole?

Sérgio de A. Nishioka; Isabela M. B. Goulart; Marcius K. N. Burgarelli; Marcelo S. Ferreira; F. R. F. Nunes-Araújo


16- Pefloxacin in histoid leprosy

P. M. Mahajan; V. H. Jadhav; J. M. Mehta


17- Assessment of the purity of M. leprae preparations f rom tissues of leprosy-infected laboratory animals

Margarita N. Dyachina; Ludmila M. Pynchuck; Alla L. Lazovskaya; Anatoly A. Juscenko


18- "Tuberculoid contamination" in histoid hanseniasis

Michael G. Corcos; Christopher D. Corcos


NEWS AND NOTES

CURRENT LITERATURE

ACKNOWLEDGMENT

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